Cessez le feu !
Des gens nobles sont morts
pour des causes qui ne l’étaient pas tant que ça.
Des juifs pour conquérir une terre
qui n’étaient pas la leur.
Des musulmans pour défendre une terre
qui ne leur appartenait pas.
Chacun croyait mourir pour la bonne cause, noble et juste.
Alors que chacun mourrait d’avoir été manipulé
par les élites au pouvoir, s.atanistes s.ionistes
et s.atanistes tyrans du proche-orient,
d’Arabie, d’Egypte, de Syrie, de Jordanie, d’Irak…
Mourir pour des idées implique un triste constat,
c’est qu’on meure toujours pour les idées des…
autres.
Quand on fait croire à un enfant qu’il est mort
pour défendre les idées de D.ieu,
puisque il est mort pour défendre les idées
de son prophète,
ou de celles écrites dans son livre,
ou les idées de celui qui a dit :
« Aimez-vous les uns, les autres »,
on peut rajouter en bas de page :
« C’était pour de la fausse ! »
On est juste mort pour ceux
qui aiment plus le pouvoir que les êtres humains !
Tu es l’autre, je suis moi.
Tuer l’autre ou lui donner ma vie.
« Les hommes se croient libres
en cela seul qu'ils ont conscience de leurs actions
et sont ignorants des causes
par où ils sont déterminés… »
Des hommes remarquables étaient morts en Palestine,
juifs ou musulmans, nés à Rafah ou à Varsovie,
avec l’idée de donner le meilleur d’eux-mêmes à la cause…
La cause des rois et des imams,
de ceux qui siègent à l’ONU, qui, eux,
ne sont pas morts dans le désert du Néguev
ou dans les faubourgs de Tel Aviv.
Moshé Cohen n’était plus le même, plus un enfant.
Héros de la survie d’Israël pour toute sa famille,
lui savait qu’il avait du tuer pour cela,
d’autres enfants nés sur la même terre que lui,
et qu’il avait dû tuer pour cela, un autre enfant,
celui qui vivait à l’intérieur de lui.
Moshé était né sur la terre,
pas sur la terre de Palestine,
ni sur celle d’Israël,
il était né sur la Terre.
Il n’y a qu’une Terre,
celle où nous sommes tous né.